Publications: l’utilisation de Skype dans une étude d’avocats

Un bref article paru dans les éditions francophone et germanophone de la revue Plaidoyer s’intéresse à l’utilisation de Skype dans une étude d’avocats. Cela ne pose pas de problèmes particuliers si le client est au courant et accepte son utilisation. Il en irait différemment si l’avocat utilise un système de VoIP alors que le client croit utiliser un système de téléphonie classique, les risques n’étant pas les mêmes.

3 réflexions sur “Publications: l’utilisation de Skype dans une étude d’avocats”

  1. Wie man erst seit Kurzem weiss, laufen Skype-Telefonate über zentrale Server der Microsoft-Infrastruktur, sind also auch für die NSA unabhängig von der Verschlüsselung vermutlich problemlos auswertbar.
    Ich wage zu bezweifeln, dass sich ein Anwalt bei beruflicher Verwendung durch einen Hinweis exkulpieren kann!

    1. Au moment de la rédaction de cet article Microsoft refusait toujours de transmettre un rapport de transparence et s’il y avait déjà des soupçons, il n’y a à ma connaissance pas de certitude sur le passage de toutes les communications par une structure centralisée.
      Je ne vois pas de raison de considérer que l’avocat qui utilise un outil de communication avec l’accord de son client commette une faute professionnelle. Sinon un avocat devrait également refuser de recevoir des emails de ses clients, des téléphones de l’étranger, etc. Il en va différemment si l’avocat donnait des garanties que le moyen de communication est inviolable.

  2. Imho kann sich der Anwalt durch den blossen Hinweis auf die Verwendung von Skype nicht exkulpieren, weil man nicht einfach voraussetzen darf, dass der Kunde über alle damit verbundenen Risiken Bescheid weiss.

    Es wäre daher notwendig, so auf diese Risiken hinzuweisen dass Gewissheit besteht, dass der Kunde diese zuverlässig kennt.

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